POUR LES RETRAITES DE SONATRACH, L’INDEMNITE « I.E.P » ENFIN REHABILITEE
CF. ARTICLE 67 DE LA CONVENTION COLLECTIVE

PROLOGUE …

APRES UNE LONGUE BATAILLE JUDICIAIRE DE 3 ANNEES, LA JUSTICE S’EST PRONONCEE EN FAVEUR DES RETRAITES DE SONATRACH POUR LA REGULARISATION DE L’INDEMNITE « I.E.P » (INDEMNITE EXPERIENCE PROFESSIONNELLE) A/C DE JUIN 2009 SUR LA BASE DE L’ARTICLE 67 DE LA CONVENTION COLLECTIVE SONATRACH DU 22/11/1994 ET LA CIRCULAIRE 4.02 DU MANUEL DE GESTION. POUR PLUS DE DETAIL SE REPORTER A L’ARTICLE SOIR D’ALGERIE DU 26/11/2013 P.8 « RETRAITES DE SONATRACH VICTIMES DE DECISIONS DE JUSTICE NON EXECUTEES » LIEN INTERNET : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2013/11/26/article.php?sid=157032&am…

BILAN D’ETAPE JUDICIAIRE………

SUR 51 AFFAIRES ENROLEES, PAR MAITRE BENOUARETH, 34 ONT OBTENU DES JUGEMENTS DEFINITIFS AUPRES DES TRIBUNAUX SUIVANTS : SKIKDA (10 CAS) ORAN (4 CAS) BISKRA (10 CAS) TEBESSA (10 CAS). LES 17 AFFAIRES RESTANTES ONT ETE RENVOYEES PAR-DEVANT LE TRIBUNAL D’EL-HARRACH (ALGER) POUR UN DEBAT DE FOND SUR LA VALIDITE DE L’INDEMNITE « IEP » DANS SON CONTEXTE ORIGINEL DE L’ARTICLE 67 DE LA CCE. LE RAPPORT DE L’EXPERT RABAH HAMZA A ETE RECUSE PAR LES RETRAITES, LES TAUX DE CALCUL RETENUS PAR L’EXPERT SONT CEUX DE LA CIRCULAIRE « I.A.G » (INDEMNITE ANCIENNETE GROUPE), CONTESTEE PAR LES RETRAITES, AU LIEU DES TAUX PREVUS PAR CIRCULAIRE «I.E.P» (INDEMNITE EXPERIENCE PROFESSIONNELLE) CF.ART.67 CCE. PAR EFFET DE JURISPRUDENCE, LES 17 AFFAIRES ACQUERRONT UN VERDICT FAVORABLE PAR RAPPORT AUX 34 JUGEMENTS PASSES EN FORCE DE CHOSE JUGEE.

LE SYSTEME « N.S.R » ….UN LABYRINTHE INEXTRICABLE

LA OU LE BAT BLESSE EST QUE SONATRACH A DEMANTELE SON SYSTEME DE REMUNERATION OPERATIONNEL POUR IMPLEMENTER A LA PLACE LE PACK DU « N.S.R » (NOUVEAU SYSTEME DE REMUNERATION) ACQUIS EN DEVISES EN 2007 (COUT ESTIME ENTRE 8 ET 10 MILLIONS € EUROS) AUPRES DES FIRMES ETRANGERES (IBM, PERRIN-TOWERS, DELOITTE, WATSON…) QUI A ACCOUCHE D’UNE APPLICATION PARTIELLE EN 2009 DONT L’OBEDIENCE ET CONCEPT « ANGLO-SAXONS » NE CADRENT PAS AVEC LA METHODOLOGIE ET REGLEMENTATION EN VIGUEUR REGISSANT LES RELATIONS DE TRAVAIL. LE SYSTEME S’EST FIGE ET N’A CONNU QUE LACUNES ET INEPTIES, SUR LE PLAN REGLEMENTAIRE, QUI ONT PENALISE PECUNIAIREMENT LES RETRAITES, PARTIS EN 2009, ET SONT A L’ORIGINE DE LEURS DEBOIRES. EN RAISON DE LA DEMISSION DE LA TUTELLE A TOUTES FORMES DE DIALOGUE ET DE CONCERTATION, UNE LUTTE INEGALE S’EST ENGAGEE AVEC LE DIRECTOIRE DE LA DG-SH QUI A ABOUTI DEVANT LA JUSTICE. LES MANAGERS AU LIEU DE PROTEGER LES INTERETS MORAUX DES RETRAITES, PROTESTATAIRES ET DENONCIATEURS, LES SOUMETTENT A DES INTIMIDATIONS, PRESSIONS ET REPRESAILLES.

CERTAINS RESPONSABLES DE LA DCG-RHU ONT DECLARE, TOUTE HONTE BUE, QUE LES RETRAITES FRONDEURS SOIENT POURSUIVIS EN JUSTICE !!!. POUR AVOIR TERNI LA REPUTATION ET L’IMAGE DE MARQUE DE SONATRACH ??!! , CECI PROUVE LA PARANOÏA DE CES RESPONSABLES QUI TRANSFERENT LEURS FAUTES SUR AUTRUI AFIN DE SE DEDOUANER. POUR NE PAS POLEMIQUER, NOUS RENVOYONS LES DETRACTEURS A LA LECTURE DU VERSET CORANIQUE «... OR, IL SE PEUT QUE VOUS AYEZ DE L'AVERSION POUR UNE CHOSE ALORS QU'ELLE VOUS EST UN BIEN. ET IL SE PEUT QUE VOUS AIMIEZ UNE CHOSE ALORS QU'ELLE VOUS EST MAUVAISE. C'EST ALLAH QUI SAIT, ALORS QUE VOUS NE SAVEZ PAS… » (SOURATE AL-BAQARAH, 216).

HEUREUSEMENT ET GRACE A DIEU TOUT PUISSANT QUE SONATRACH A ACQUIS PLUTOT SES LETTRES DE NOBLESSES ET ENRICHI SON PALMARES SOUS LA FERULE DE SES PRECURSEURS DONT CERTAINS VIVENT ACTUELLEMENT UNE RETRAITE PAISIBLE, D’AUTRES RAPPELES DEVANT L’ETERNEL ET POUR QUI NOUS PRIONS DIEU TOUT PUISSANT DE LES ACCUEILLIR DANS SON VASTE PARADIS.

IRRESPONSABILITE DES MANAGERS SONATRACH……….

IL EXISTE UNE CONTRADICTION DANS LES POSITIONS DE SONATRACH DU AU TROPISME DE SES MANAGERS QUI REFUSENT D’ADMETTRE LES EFFETS NEGATIFS DU NOUVEAU SYSTEME DE REMUNERATION QUI TRAINE DEPUIS 2009 ET N’A PAS ENCORE ATTEINT UNE ETAPE OPTIMAL A LA VEILLE DE 2014. PENDANT QUE LES RETRAITES ET ACTIFS DENONCENT LES ANOMALIES, LES DIRIGEANTS RESTENT PASSIFS OU APPUIENT LES CONCLUSIONS DE LEURS COMMETTANTS QUI ONT EU L’AUDACE DE BLOQUER DES DECISIONS DE JUSTICE. LORS DES RENCONTRES COMMEMORATIVES LES DIRIGEANTS TIENNENT UN LANGAGE AMBIVALENT, FONT ETALAGE DU DISCOURS POPULISTE PRONANT SOUTIEN ET SOLIDARITE ENVERS LES RETRAITES ET LEURS CAUSES, MAIS UNE FOIS L’EVENEMENT PASSE ET MIS DEVANT LE FAIT ACCOMPLI, ILS SE DEROBENT ET PERPETUENT LA POLITIQUE DU STATU QUO COUTE A SE DEJUGER PUBLIQUEMENT DE LEURS ENGAGEMENTS.

INGRATITUDE QUAND TU NOUS TIENS……. .

LA MISE A LA RETRAITE N’EST NI UNE MALEDICTION NI UNE FIN EN SOI MAIS UN ACCES A UN STATUT SOCIAL VALORISANT. NUL NE PEUT SE PRETENDRE INDISPENSABLE A L’EXERCICE D’UNE OBLIGATION OU ETERNEL A UN POSTE DE TRAVAIL. CELUI QUI USE ET ABUSE DU POUVOIR, QUE LUI CONFERE UNE POSITION HIERARCHIQUE DOMINANTE, FASSE SON MEA-CULPA ET ENVISAGER EN UN COURT INSTANT QU’IL PEUT SUBIR LES MEMES AFFRES ET ENFIN ADMETTRE QU’IL A ETE INVESTI D’UNE MISSION POUR SERVIR AUTRUI ET NON POUR SE SERVIR OU AVANTAGER SON ENTOURAGE.

VISA D’ENTREE AUX RETRAITES S.H POUR…. ACCES A SONATRACH !

UNE REPRESSION SOURNOISE EST MENEE AU QUOTIDIEN CONTRE LES RETRAITES EN JUSTICE C / S.H. NOUS CITERONS LES DECISIONS LATENTES PRISES PAR DES OPPORTUNISTES QUI DECLARENT « ETRE MANDATES PAR LA HIERARCHIE D’EN HAUT » (SIC) POUR « RESTREINDRE » L’ACCES AUX RETRAITES AUX LIEUX DE TRAVAIL DE LEUR ANCIENNE STRUCTURE. CETTE INJONCTION « VERBALE » LAISSE PLACE A UNE GRILLE DE LECTURE MULTIPLE OU PLANE LA SUSPICION QUANT A SON APPROBATION PAR LA HAUTE AUTORITE ET CE POUR LES MOTIFS CI-APRES :
• DES STRUCTURES SOUMETTENT LE RETRAITE A UN «VISA D’ENTREE » AUX CONDITIONS DE : 1- PRESENTER UNE PIECE IDENTITE 2- MOTIVER LA VISITE 3- NOMMER LA PERSONNE A RENCONTRER ET APRES ACCORD DU RECEVANT, LE RETRAITE EST « AUTORISE » A PENETRER.
• D’AUTRES FIXENT LA RECEPTION A UN JOUR/ SEMAINE, APRES ACCORD DU RECEVANT, LE RETRAITE REMET UNE PIECE D’IDENTITE REÇOIT UNE CARTE D’ACCES «VISITEUR» ET UN FORMULAIRE QU’IL FERA AGREER PAR LE RECEVANT ET REMIS A LA SORTIE.
• ENFIN, DES STUCTURES AGISSANT DANS LA TRANSPARENCE AGREENT L’ACCES AU RETRAITE SANS AUCUNE FORMALITE A LA SEULE VUE DE LA CARTE ET APRES SON ACTIVATION PAR LE SYSTEME DE GESTION.

CETTE DISPARITE REVELE LA CONFUSION DE L’ORGANISATION.

CE PLAN MACHIAVELIQUE, OURDI PAR DES COMPLOTEURS AVISES, MIS EN EXECUTION PAR DES COURTISANS FORMATES, CONSISTE A : 1/- CIBLER LES RETRAITES FRONDEURS QUI ONT ESTE SONATRACH EN JUSTICE 2/- LES EMPECHER D’ACCEDER AUX LIEUX DE TRAVAIL 3/- LES ISOLER DES TRAVAILLEURS ACTIFS DE PEUR D’UNE PRISE DE CONSCIENCE DE CES DERNIERS SUR L’ISSUE DES ACTIONS JUDICIAIRES DES AFFAIRES PCR-MIP ET IEP ART.67 CCE. POUR ENTRETENIR L’AMALGAME, EVITER D’ETRE CONFONDUS DE PARTIALITE, LES LAUDATEURS ONT « MASQUE » LEURS DECISIONS EN GENERALISANT LA RESTRICTION D’ACCES A L’ENSEMBLE DES RETRAITES EN ATTENDANT DE S’ATTAQUER AUX AUTRES DROITS.

L’AUTORITE HIERARCHIQUE EST INDEMNE DE JUGEMENT DANS LA CABALE ET COMPLOT FOMENTE CONTRE LES RETRAITES, LA TUTELLE N’A PAS DECLARE LE RETRAITE « PERSONA NON GRATA » BIEN AU CONTRAIRE DES DISPOSITIONS CONVENTIONNELLES ONT ETE PRISES POUR SA PROTECTION ET ONT ETE MATERIALISEES PAR LA CIRCULAIRE N°8.01 R2 DU 06 MAI 2010 RELATIVE AUX DROITS DU RETRAITE QUI PREVOIT :

« LES TRAVAILLEURS RETRAITES CONTINUENT DE BENEFICIER DES ŒUVRES SOCIALES DE LA SOCIETE AU MEME TITRE QUE LES TRAVAILLEURS EN ACTIVITE, CONFORMEMENT AUX DISPOSITIONS ART. 320 DE LA CCE…»
«…EN OUTRE LES STRUCTURES SONT TENUES D’ETABLIR POUR LES RETRAITES DES CARTES FORMAT- DESIGN DE LA CARTE PROFESSIONNELLE PORTANT LA LETTRE R MAJUSCULE… »

BIEN QUE TITULAIRE DE LA CARTE REGLEMENTAIRE PORTANT LA LETTRE « R » QUI LUI DONNE UN ACCES LIBRE, LA « FORCE OCCULTE » EXECUTANT CETTE SALE BESOGNE EN A DECIDE AUTREMENT ET A MIS EN MARCHE LA FUNESTE PROCEDURE QUI LAISSE EMERGER AU GRAND JOUR LES REGLEMENTS DE COMPTE ET LA PERSECUTION DES RETRAITES FRONDEURS, DONT LE SEUL CRIME EST D’AVOIR RECLAME LEURS DROITS (PCR-MIP ET IEP ART.67). CETTE PARTIALITE, DONT LES PREMISSES ONT DEBUTEES FIN 2010, A DEJA ETE SIGNALEE A MM LE PDG-SH (L.R N°457960 DU 30/10/10) L’INSPECTEUR GENERAL M.E.M (L.R N°485801 DU 13/11/10) LE MINISTRE M.E.M (L.R N°485841 DU 30/11/10), TOUTES RESTEES SANS REPONSES. NOUS SOMMES PRETS A PUBLIER LESDITES REQUETES DANS LE CAS DES DEROBADES OU CONTESTATIONS DE LA HIERARCHIE.

VU LES CAS DE RECIDIVES QUI SE SONT INTENSIFIES CES DERNIERS TEMPS, A L’APPROCHE DES PRONONCES JUDICIAIRES EN FAVEUR DES RETRAITES,VU L’ABSENCE DE LA REACTION DE LA TUTELLE, NOUS NOUS EN REFERERONS CETTE FOIS CI A MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE POUR EPUISER LES VOIES DE RECOURS AVANT DE L’INVOQUER DEVANT LA JUSTICE. PATIENCE N’EST PAS SYNONYME DE DOCILITE.

ACHARNEMENT DES FORCES OCCULTES………

LES RETRAITES SONT UNANIMES POUR AFFIRMER QUE LE STAFF DG-SH EST LA PARTIE QUI A ABUSE LE PLUS DE SON INFLUENCE. AFIN DE NE PAS SE DESAVOUER SUR SES DECISIONS INIQUES, IL TENTE D’ETOUFFER LES REVENDICATIONS EN ACCORDANT UNE « IMMUNITE » AUX RESPONSABLES CENTRAUX (JURIDIQUE- RHU) AFIN QUE CES DERNIERS ANNIHILENT PAR TOUS MOYENS LES ACTIONS LEGITIMES DES RETRAITES ET FAIRE PERDURER LEURS PROCES JUDICIAIRES PAR DES MOTIFS FALLACIEUX POUR LES DEGOUTER ET OBLIGER A ABANDONNER LE COMBAT. LES NEO-DIRIGEANTS PROFITENT DES TURBULENCES TRAVERSEES PAR LE PAYS POUR S’ADONNER A DES ACTES ET PRATIQUES REPROUVES PAR LE CODE DE DEONTOLOGIE ET LA PRATIQUE DE LA BONNE GOUVERNANCE. LA JUSTICE FINIRA PAR RATTRAPER LES CADORS ET LES CONTREVENANTS.

IMPUNITE PROMISE…… AUX COUPABLES

UN SENTIMENT D’IMPUNITE S’EST FINALEMENT DEVELOPPE CHEZ LES GESTIONNAIRES ENCOURAGES PAR LE TOP MANAGEMENT QUI AFFICHE APREMENT UN DECALAGE ENTRE LES DISCOURS ET LA REALITE. LA HIERARCHIE ET LA TUTELLE SE SONT COALISES ET OPTES POUR UN SEUL MOT D’ORDRE « DITES CE QUE VOUS VOULEZ NOUS FERONS CE QUE NOUS VOULONS ». CECI SANS OUBLIER QUE LES RETRAITES N’ONT PAS UN SYNDICAT REPRESENTATIF. LE SYNDICAT DES ACTIFS INSTRUMENTALISE A SOUHAIT N’HESITE PAS A SEVIR, SANS MEME PLUS PRENDRE LE SOIN DE SAUVER LES APPARENCES EN DONNANT DE LA FORME ET DU FOND A SES DECISIONS. LE MANDAT DU SYNDICAT NE S’ETEND PAS AUX RETRAITES.

DEFAITISME DES RETRAITES…

LES RETRAITES QUI CONTINUENT DE SUBIR LES AFFRES CONSEQUENTS DE L’INDIFFERENCE DE LA TUTELLE AU POINT OU ILS (LES RETRAITES) NE SONT PLUS OUTRES OU SCANDALISES PAR LE TROPISME ET LE COMPORTEMENT DEVIATIONNISTE DE LA HIERARCHIE. LA CAPACITE D’INDIGNATION N’EXISTE PRATIQUEMENT PLUS MEME CHEZ LES PLUS VALEUREUX D’ENTRE-EUX. LE RETRAITE LAMBDA QUANT A LUI EST TELLEMENT DESABUSE QU’IL SEMBLE SE RESIGNER ET FINIR PAR ACCEPTER CONTRE SON GRE LE STATUT DU PROSCRIT DANS LEQUEL IL A ETE CONFINE ET MAINTENU PAR LA FORCE.

SURSAUT DES RETRAITES…

EN RAISON DE L’OPINIATRETE DES RESPONSABLES QUI ONT DEVELOPPE UN SYNDROME DE LA NEGATION DU DIALOGUE DE LA CONCERTATION ET DU DEBAT CONTRADICTOIRE, IL EST APPARU QUE SONATRACH NE PLIE QUE DEVANT LA FORCE ET QUE L’APPEL A LA JUSTICE PAR LES RETRAITES RESTE L’UNIQUE MOYEN POUR LA CONTRAINDRE A S’EXECUTER.

ENGAGEMENT A DEFENDRE BRAVEMENT LEURS DROITS…..

POUR CES MOTIFS LES RETRAITES DESIRANT RECOUVRER LEURS DROITS ET QUI ONT ADOPTE DANS LE PASSE UN PROFIL BAS , UNE POSTURE DE SPECTATEUR, UNE NEUTRALITE DANS LE CONFLIT DOIVENT D’UNE PART, SE DEMARQUER DE CETTE ATTITUDE COUARDE, D’AUTRE PART, REJOINDRE LES RANGS DES FRONDEURS ET ENROLER LEUR REQUETE AUPRES D’UN AVOCAT DE LEUR CHOIX OU CELUI DES RETRAITES ( e-mail n.benouareth@yahoo.fr ) QUI A UNE MAITRISE AVEREE DANS LE DOMAINE POUR AVOIR CONDUIT AVEC SUCCES LES PROCES DES AFFAIRES PCR-MIP ET IEP-ART.67 DE LA CCE.

EPILOGUE……

LE RETRAITE DE SONATRACH DOIT ETRE CONVAINCU, SANS L’OMBRE DU MOINDRE DOUTE, DU FAIT QU’IL EST DANS SON « DROIT » LE PLUS « ABSOLU » ET QU’IL NE DEMANDE QUE L’APPLICATION DE CE DROIT QUI EST CONSACRE PAR LES TEXTES DE BASE DE SONATRACH QUI DEMEURE UNE ENTREPRISE CITOYENNE RESPECTUEUSE DES DROITS DE SES COLLECTIFS EN PRIORITE LES AYANTS DROIT ET LES RETRAITES. LES PROCES GAGNES PAR NOS COLLEGUES SONT LA POUR L’ATTESTER. A FORCE DE PRATIQUER L’INJUSTICE, LES MANAGERS DE SONATRACH ONT DEVELOPPE DES COMPORTEMENTS DE PARANOÏA ET D’EGOCENTRISME. LEURS PARADES FAVORITES, POUR NE PAS SE DESAVOUER (TAGHENANTE MAL PLACE), CONSISTENT A PRATIQUER UN JURIDISME PRIMAIRE ET S’OPPOSER AUX REGLEMENTS DES CONFLITS ET A L’APPLICATION DES DECISIONS DE JUSTICE PAR DES ACTES FOURBES. CETTE OBSTINATION AVEUGLE ET RANCUNIERE D’UNE POIGNEE DE CADORS A FINI PAR JETER L’OPPROBRE ET L’ANATHEME SUR TOUTE LA HIERARCHIE DE LA TUTELLE.

LA JUSTICE A RETABLI DES VERITES QUE CERTAINS MANAGERS ZELES TENTENT ET /OU FEIGNENT D’IGNORER EN DEVELOPPANT DES THESES FARFELUES ET EN DIFFUSANT DES CIRCULAIRES INDIGNES DU NIVEAU DE LEURS RANGS QUI SOUS ENTENDENT QUE LA GRANDE FAMILLE SH (ACTIFS ET RETRAITES) NE SAVENT PAS FAIRE LA PART DES CHOSES, LIRE LE DROIT OU INTERPRETER LE CONTENU D’UNE CIRCULAIRE…TANT PIS POUR EUX , CAR L’ENTREPRISE SH, DURANT NOTRE CARRIERE, N’A JAMAIS CESSE DE NOUS RAPPELER QUE NOUS DEVIONS RESPECTER LA REGLEMENTATION ET LA LEÇON A ETE TRES BIEN APPRISE ET A NOTRE TOUR DE LA BRANDIR COMME « VERITE ABSOLU » ET « MOT D’ORDRE GENERAL ».

LES MANAGERS DE SONATRACH ONT FAILLI LA OU LES TRAVAILLEURS RETRAITES ONT ETE PERSPICACES. EN EFFET, COMMENT PEUT-ON APPLIQUER LE « N.S.R » (NOUVEAU SYSTEME DE REMUNERATION) SANS AVOIR AU PREALABLE REVISE LES DISPOSITIONS DE LA CCE (CONVENTION COLLECTIVE D’ENTREPRISE) NOTAMMENT LE TITRE III CHAPITRE 2 ARTICLES 62,66 A70 DANS LE RESPECT DES DISPOSITIONS PREVUES AU TITRE XIII ARTICLES 374,381. EN TOUTE TRANSPARENCE, NOUS DEMANDONS A LA HIERARCHIE DE PRESENTER LE BILAN FINANCIER DU « N.S.R » DANS SES PARTIES DINARS ET DEVISES (AUX DIRES DE CERTAINS, IL AURAIT COUTE ENTRE 8 ET 10 MILLIONS € EUROS QUANT A LA PARTIE DINARS ELLE NOUS IMPORTE PEUT CAR ELLE A ETE ALLOUEE AUX NATIONNAUX)

CETTE FAUTE LOURDE DE GESTION EST IMPUTABLE AU PDG-SH ET A SES COMMETTANTS QUI ONT TOUJOURS CONFIE DES DOSSIERS AUSSI LOURDS ET IMPORTANTS A DES PERSONNES INCAPABLES, ETRANGERES AU DOMAINE CONCERNE SUIVANT LA PRATIQUE DE LA COOPTATION NON PAS SUR LA BASE DES CRITERES DE COMPETENCE ET D’ERUDITION MAIS PAR LA COMBINAISON DES AFFINITES ET INTERETS RECIPROQUES.LES « COOPTES » BENEFICIANT DE L’IMMUNITE DE LEURS MENTORS ONT AGI COMME S’ILS ETAIENT LES SEULS A DETENIR LA VERITE ABSOLUE ET CELA PERDURE .

AUJOURD’HUI, LE PDG-SH ET LE TOP MANAGEMENT SE DOIVENT D’ASSUMER L’ECHEC ET DE RECONNAITRE QUE LE RETRAITE EST DANS SON DROIT ET QU’IL LEUR DONNE UNE LEÇON DE REALISME QU’ILS SE DOIVENT DE CAPITALISER ET D’ENSEIGNER AUX FUTURS CADRES RHU ET JURIDIQUE.

SAADI Youcef et BAHLOUL Mansour
P/LE COLLECTIF DES RETRAITES
Bordj El Bahri W.ALGER LE 05 Décembre 2013