• Lettre ouverte à Monsieur le Directeur Général de l’organisation internationale du Travail (OIT)

    Nous, travailleurs de la société nationale SONATRACH Direction Régionale  de Rhourde Nouss, avons l’honneur de solliciter par cette présente votre haute bienveillance de bien vouloir intervenir auprès des hautes autorités de  notre pays Algérie afin de les obliger à respecter la législation du travail en vigueur en l’occurrence l’application de l’article 67 de la convention collective  de  l’entreprise SONATRACH  ayant trait à l’ IAG (Indemnité Ancienneté Groupe) sachant très bien que l’Algérie a ratifié toutes les conventions internationales du travail et ce depuis son adhésion à l’OIT en 1962.

    SONTARACH se laisse entraîner dans la boue par un Directeur des ressources humaines qui refuse de reconnaitre son grave erreur d’extorquer des fonds via la masse salariale de braves travailleurs.

    Monsieur le directeur peut- on laisser Sonatrach bafouée un droit fondamental du travailleur pour long temps ?

    Dans l’attente d’une intervention dans la célérité, pour permettre aux milliers de travailleurs de jouir de leur droit absolu.

    Recevez  Monsieur le directeur nos meilleures salutations.

    les travailleurs de SONATRACH de RHOURDE NOUSS.


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  • LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EXCELLENCE

    Nous, travailleurs de la société nationale SONATRACH Direction Régionale de Rhourde Nouss, venons solliciter auprès de votre excellence une intervention, afin que les problèmes que nous vivons depuis l’instauration du nouveau système de rémunération trouverons un dénouement fiable, ces problèmes qui sont les mêmes pour tous les travailleurs de la dite société à travers le territoire national, sont en situation de blocage. Nous sommes un collectif de travailleurs au sud du pays, notre situation socio professionnelle est un souci compte tenu du mutisme de la Direction Générale de notre société et la sourde oreille du partenaire social qui ne ménage aucun effort pour s’occuper pleinement de nos revendications, justes et fondées. Nos cris de détresse a l’encontre du syndicat national n’ont reçu aucun écho et nous nous trouvons devant le fait accompli d’alerter les hautes instances du pays pour une solution fiable à nos préoccupations Ces préoccupations qui se résument par le non respect des lois et des articles régissant la convention collective de l’entreprise, seule garante des droits légitimes des travailleurs sans distinction aucune, cette même convention qui assure le bon fonctionnement de l’entreprise tout en garantissant la prise en charge des problèmes socio professionnels des travailleurs, se trouve malheureusement mise de coté par des gens qui auraient pu l’appliquer comme il se doit, malheureusement ça n’a pas été le cas Nos revendications sont justes et fondées, nous ne demandons que l’application stricte et légale de la convention collective issue de la législation du travail dans tous ses articles. Voici donc ce que nous revendiquons 1- IAG (Indemnité Ancienneté Groupe) Application de l’article 67 de la convention collective de l’entreprise du 02 Février 2010 2- IZCV (Indemnité de Zone et des Conditions de vie) Revalorisation de ces indemnités en fonction du nouveau SMIG 18000DA au lieu de 15000DA. 3- Revalorisation de toutes les autres primes (Nuisance, travaux postés etc…) en fonction des nouvelles données salariales 4- Révision des compléments MIP en fonction du salaire réel sur lequel les cotisations Sont prélevées 5- Revalorisation du salaire de base en fonction de la situation financière de la société ( voir le salaire de base des multi nationales du groupe petrolier) Ces problèmes auraient pu être solutionnés s’il y avait eu un minimum de sérieux de la part des gestionnaires et l’application stricte de la convention collective Nous voulons une politique de travail ambitieuse, faisant avancer notre sociéte en mettant au cœur la réussite de tous les travailleurs, nous voulons pour cela d’autres choix, un autre visage une autre politique de gestion saine et efficace de cette société que nous souhaiterions concurrentielle avec les autres multi nationales du groupe pétrolier Par conséquent, nous leurs (les gestionnaires) serions grés de nous communiquer les arguments relatifs à ce refus de coopérer quant a trouver une issue a nos revendications, en indiquant les clauses de la convention collective sur lesquelles ils s’appuient pour légitimer cette conclusion. Nous sommes les garants de l’économie nationale, nous nous sommes sacrifiés pour notre pays, tout ce que nous avions entre les mains nous le devons a ceux qui nous ont précédés, nous avions en ceux qui étaient là en ce 24 février 1971 une idéologie de garder ce défi haut très haut même. Cette société d’envergure qui est la mère de toute l’économie nationale se trouve malmenée Estée en justice par ceux qui l’ont rendue si florissante et grandiose et ceci par la non application de la juridiction et des articles de la législation en vigueur. Nous avons usé du seul moyen de défense qui nous restait, cette lettre ouverte pour permettre à tous les travailleurs de SONATRACH de relever la tète Nous nous adressons à votre honneur, au premier magistrat du pays pour intercéder en faveur de la loi et de la justice, pour nous rétablir dans nos droits. Veuillez croire Monsieur le président de la république en les sincères salutations de tous les travailleurs de la SONATRACH. _________________ espérant être entendu

    le collectif des travailleurs de SH DP Rhourde Nouss.


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